Modification
de l’ADN humain
lié à l’élévation de la vibration des énergies cosmiques

Depuis
des années, les généticiens savent que des changements se produisent
dans l’ADN. Ils ont constaté que des hélices d’ADN se sont ajoutées
chez des personnes adultes. Cela irait de pair avec des changements
dans la conscience. Praticien de médecine holistique au Centre Avalon
de Bien-Etre, au Mount Shasta en Californie, le Dr. Berrenda Fox
possède des tests sanguins fournissant la preuve que certaines personnes
ont réellement développé de nouveaux brins d’ADN. Lors d’un interview,
il a déclaré :
« Des changements ont lieu, des mutations
qui, selon les généticiens, ne s’étaient jamais encore produites
».
Il
y a plusieurs années déjà, à Mexico City, une convention de généticiens
venant du monde entier avait pour thème « le changement d’ADN ».
Nous sommes en train de faire un saut d’évolution,
et pourtant la grande majorité de l’humanité
n’est pas informée des changements
qui ont lieu !
Tout le monde a une double hélice d’ADN.Ce que nous découvrons,
c’est qu’il y a d’autres hélices qui sont en train de se former.
Dans la double hélice, il y a deux brins d’ADN torsadés en spirale.
Ces
changements ne sont pas publiquement connus, parce que la communauté
scientifique a l’impression que cela effraierait
la population. Et cependant, les personnes sont en train de changer
au niveau cellulaire. « Je travaille en ce moment avec trois enfants,
qui ont trois hélices d’ADN », précisait
dans une interview le Dr. Berrenda Fox. « Certains
adultes que j’ai testés ont réellement une deuxième hélice
d’ADN qui se forme. Certains forment même une troisième hélice.
Ces personnes passent à travers des changements majeurs dans leur
conscience et dans leur corps
physique, parce que tout cela ne fait qu’un. Ainsi, la Terre
et les êtres humains élèvent leur vibration ».
On
sait aujourd’hui que des milliers de personnes, ayant contracté
le sida, finissent par s’en débarrasser et se retrouver avec un
système immunitaire renforcé, dû probablement aux quatre cordons
d’ADN supplémentaires découverts chez elles. Les médecins de l’Université
de Californie à Los Angeles (UCLA) ont suivi un garçon né avec le
virus du sida. L’enfant a successivement été examiné à sa naissance,
à 6 mois et à 1 an. Ensuite encore à 5 ans et, cette fois, il fut
constaté que toute trace du virus avait disparu. Médecins et spécialistes
se posèrent beaucoup de questions et finirent par examiner l’ADN
du jeune garçon. Ils découvrirent que l’enfant avait 24
cordons de son ADN actifs au lieu de 20 comme chez les êtres
humains dits « normaux ».
On
examina ensuite son état immunitaire. Il semblait que l’enfant était
préservé contre tout. Et l’on découvrit que son système immunitaire
était 3 000 fois plus fort que chez
le commun des mortels !
Des
recherches s’ensuivirent pour voir s’il y avait d’autres cas de
mutation de ce genre. En effet, on en découvrit 1, puis 100, puis
1 000. A l’Université de Californie, on croit à présent que plus
de 1 % de la population mondiale pourrait
être dans ce cas. Nous assisterions à un phénomène d’immunité spontanée
jamais observé précédemment. Cela expliquerait peut-être aussi les
cas, de plus en plus nombreux, de « guérisons inexpliquées » de
sidéens qui refusent la chimiothérapie, la tri-thérapie ou autres
médicalisations qui affaiblissent le système immunitaire. Est-il
besoin de préciser que certains d’entre eux vivent des années sans
inconvénients, bien qu’ils aient été répertoriés séropositifs ?
Un
nouveau référentiel cosmique
Aujourd’hui,
la découverte de nouveaux ADN chez l’homme témoigne de manière tangible
des travaux de chercheurs qui ont perçu le changement vibratoire
des énergies cosmiques et leur influence progressive sur les êtres
vivants. Dès les années 1980, Etienne Guillé et son équipe de la
faculté de Paris-Orsay ont mis en évidence que les
énergies cosmiques avaient changé de fréquence, obligeant
l’homme à monter son niveau de conscience, et donc à harmoniser
ses récepteurs.
Cette
science ne se contente pas de chercher désespérément les relations
linéaires de cause à effet alors que, dans la majorité des cas,
les événements de la vie mettent en jeu un réseau d’interactions
branchées, comparables à des parcours labyrinthiques, où le rôle
des nœuds est primordial, depuis la molécule d’ADN, jusqu’aux orbites
des planètes. Un nouveau langage, le « langage vibratoire à base
moléculaire » a été découvert pour étudier les changements profonds
qui se produisent depuis ces dernières années dans l’Univers, plus
particulièrement sur notre planète Terre, changements dont tout
être vivant subit d’une manière ou d’une autre les conséquences.
Tout
cela permet de mieux intégrer une vision cohérente de la réalité
de faits aussi disparates que les modifications des actions de nombreux
médicaments homéopathiques, les variations surprenantes des points
d’acupuncture, le fait que la longueur d’onde de la santé selon
l’échelle de « Bovis » se serait déplacée de 6 000 à 8 500 angströms,
de sorte que de nombreux médicaments, et pas seulement allopathiques,
seraient devenus nocifs depuis une dizaine d’années. « Notre réceptivité
aux énergies vibratoires de notre environnement, proche et lointain,
va dépendre essentiellement du système vibratoire auquel nous appartenons
et de la nature des interactions que ce système vibratoire est susceptible
d’établir avec d’autres systèmes vibratoires », écrit Etienne Guillé.
Ces
interactions peuvent être globalement décrites par des processus
de résonance ou de dissonance. Ainsi un appareillage, même doté
des capacités de l’intelligence artificielle, ne pourra résonner
avec de telles infrastructures caractéristiques de la matière vivante
puisqu’il n’est pas possible d’y incorporer une âme et un esprit.
En d’autres termes, un outil appartenant exclusivement
au monde inerte ne peut servir pour appréhender et comprendre le
monde du vivant. Les niveaux vibratoires des êtres humains
varient au cours de leur développement de la naissance à la mort
: d’une manière générale, tout être humain
peut accroître son niveau vibratoire et ultérieurement son
niveau de conscience, s’il réussit les phases de renouvellement
qui ponctuent sa vie en moyenne tous les sept ans. Par contre c’est
au cours de ces mêmes phases de renouvellement que le cancer, les
maladies auto-immunes ou psychiques, qui sont des maladies cosmiques,
peuvent progressivement s’installer dans l’être humain et se traduire
par une baisse concomitante des niveaux vibratoires. Il en résulte
que guérir un patient atteint de ce type de maladie exige obligatoirement
une augmentation durable des niveaux vibratoires des différents
composants de ce patient (généralement provoquée par un stress positif
déclenchant une nouvelle phase de renouvellement provoquée).
Restaurer
l’unité corps / âme / esprit
Aujourd’hui
il appartient à la médecine d’intégrer cette dimension holistique
qui prend en compte la totalité de l’approche du Vivant, dans sa
réalité double : biologique et vibratoire. L’homéopathie, l’acupuncture,
la géobiologie, la médecine ayurvédique, ou plus encore, récemment,
les liens étroits avec la mécanique quantique et les champs morphiques
et informationnels, viennent enrichir notre conception de l’homme
et de son fonctionnement dans un système unitaire, où le Tout contient
chaque partie, et chaque partie le Tout. Ces médecines globales
nous rapprochent plus que jamais de cette union corps / âme / esprit,
seule garante de notre bien-être, physique, psychique et spirituel.
La médecine du troisième millénaire sera celle qui restaure l’unité
corps / âme / esprit.
Pour
permettre la guérison, il faut atteindre le lieu de la conscience
pure – la fréquence vibratoire – qui n’est jamais touché par la
maladie, car la maladie n’est qu’un phénomène purement somatique.
Rappelons que la maladie n’est pas une agression
d’un agent extérieur qu’il convient de combattre, mais l’expression
d’un conflit intérieur, un défaut dans le réseau de vibrations
dont nous sommes constitués. La médecine de conscience a pour but
de rétablir l’émission correcte des vibrations, par un accès direct
au cœur de Vivant. Il y a des milliers d’années, la
science et la philosophie orientales ont eu l’intuition de ce que
la « Science élargie » est en train de redécouvrir. C’est
de la conjugaison de ces deux médecines que naîtra la médecine du
futur, celle de l’homme médiateur du Ciel et de la Terre. Car nous
sommes entrés dans le « Temps des mutants ». Et il y a nécessité
de changer de paradigme, d’être conscient de la manifestation, en
refusant le « consommer-mourir » pour la voie de la conscience,
de la liberté et de la responsabilité.
Marc
J. Pantalacci Diplômé en acupuncture traditionnelle (CREAT) Depuis
Rusty JAMES nEWS Dav
« 2012 un
nouveau paradigme »
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